Sioen investit dans le développement de la jeunesse en versant une contribution de 10 000 euros à VZW YouthStart pendant trois ans

Sioen, leader mondial des vêtements et tissus de protection, a une fois de plus choisi d’apporter un soutien indispensable à l’asbl YouthStart, qui œuvre pour les jeunes vulnérables. Entre 2023 et 2026, Sioen fera un don annuel de 10 000 euros - une extension du soutien que nous avons déjà apporté auparavant.

Sioen soutient VZW YouthStart avec 10 000 €

YouthStart propose aux jeunes entre 16 et 30 ans, qui ne travaillent pas, ne suivent pas de formation et ne vont pas à l’école, une formation gratuite de 8 jours. Dans cette formation, ils apprennent le rôle d’un entrepreneur et découvrent leurs talents.

L’initiative a ses origines aux États-Unis. Le fondateur américain, Steve Mariotti, a été attaqué par un groupe de jeunes et a ensuite fondé le Network For Teaching Entrepreneurship (NFTE), une organisation qui forme des jeunes vulnérables et leur enseigne les bases de l’entrepreneuriat.

L’actuel président de YouthStart, Gaëtan Hannecart, a appris NFTE lors de ses études à Harvard il y a 25 ans et a décidé d’apporter le concept en Belgique.

Sponsors

Les fondateurs originaux étaient également les principaux donateurs. Aujourd’hui, 25 ans plus tard, YouthStart compte déjà plus de 100 sponsors différents, dont Sioen. Au cours des trois prochaines années, Sioen donnera 10 000 euros par an à l’organisation à but non lucratif, ce qui fera de nous un sponsor argent .

​​René Philips, le PDG de l’organisation à but non lucratif affirme qu’il existe trois types de sponsors majeurs : "Il y a différents niveaux de commanditaire de YouthStart. À partir de 10 000 €, vous êtes un sponsor Silver, entre 20 000 € et 40 000 €, vous êtes un sponsor Gold et à partir de +50 000 €, vous êtes un sponsor Platinum." Ce sont de grosses sommes d’argent, qui est selon René très logique. "Il n’est pas étonnant que les montants soient si élevés quand on sait qu’une formation coûte rapidement 10 000 € et que nous avons en moyenne 100 formations par an. Bien sûr, il est également possible pour faire un don en tant que particulier qui est déductible de votre impôt." Selon le PDG, 87% de tout l’argent du parrainage va à la formation. Les 13 % restants vont aux coûts de collecte de fonds et de gestion générale de l’asbl.​

Diversité

Au début, les cours de formation n’étaient offerts qu’en néerlandais, plus tard le français a également été ajouté. Aujourd’hui des cours de formation sont proposés dans les deux langues dans plus de 20 villes de Belgique. "Nous avons spécifiquement choisi d’opter pour les deux principales langues nationales et non pour l’anglais. Nous voulons préparer et inciter les jeunes à travailler en Belgique, à poursuivre leurs études ou à créer leur entreprise ici", explique René Philips, CEO.

Il y a aussi une grande diversité de jeunes présents. Le nombre de garçons et de filles est presque le même. Cependant, on s’attend à ce que chaque jeune débutant puisse communiquer en néerlandais ou en français.

Gamme

"Pour atteindre notre groupe cible, il y a 2 canaux différents et importants, d’une part les canaux traditionnels et d’autre part les médias sociaux", explique René. "Au début, le traditionnel était le plus important. Nous avons pu compter sur les centres de protection sociale, les villes et les municipalités qui s’engagent auprès des jeunes à la recherche d’opportunités." Maintenant, YouthStart compte de plus en plus sur le pouvoir des médias sociaux. "Beaucoup de jeunes sont moins sur le radar des acteurs traditionnels, nous devons donc constamment chercher d’autres moyens d’atteindre ces jeunes", dit-il.

Selon René, il est important que tous les moyens d’inscription soient les plus accessibles possible, de manière à ce que les jeunes puissent s’inscrire en quelques clics.

Néanmoins, il reste difficile d’engager les jeunes à participer efficacement aux cours de formation après leur inscription. "Les chiffres montrent que la plupart des jeunes ne viennent en classe que si la formation a lieu à moins de 5 km de chez eux." Même pendant l’entraînement, un quart en moyenne abandonne. C’est parfois parce que la personne en question a trouvé un emploi, ne l’aime plus ou parfois à cause de problèmes familiaux. Dans ce dernier cas, il arrive que les jeunes s’inscrivent une deuxième fois à une formation.

Formation

Chaque formation s’appuie sur le programme mais est unique dans son approche. Par trajectoire, il y a deux formateurs qui adaptent le contenu de la formation aux intérêts et aux capacités du groupe. Le premier jour, chaque participant reçoit son propre ordinateur portable qu’il peut utiliser librement pendant la formation. "Nous répartissons les huit jours de formation sur environ 3 semaines, afin que les jeunes aient suffisamment de temps pour élaborer leurs idées." Pendant la formation, les jeunes apprennent à se connaître et à connaître leurs intérêts. Ils apprennent des compétences générales et techniques et apprennent à transformer leur idée en idée d’entreprise. Ils peuvent ensuite présenter cette idée d’entreprise le dernier jour de la formation dans une entreprise qui parraine YouthStart.

En tant que parrain, Sioen accueillera également un groupe d’une dizaine de jeunes qui présenteront leurs idées. Une opportunité ultime pour les deux parties, le PDG l’appelle: "De cette façon, les jeunes peuvent élargir leur réseau et finir par être employés dans une entreprise. C’est aussi un moment approprié pour les entreprises pour se connecter avec les jeunes et pour mettre leur entreprise et les postes vacants en avant."À la fin de leur présentation, chaque individu reçoit un certificat YouthStart.

"C’est un moment positif avec des retours constructifs. Tout le monde a du talent et nous l’activons", conclut René.